Glossaire
Assignation à comparaître – Document juridique exigeant qu’une personne comparaisse devant une cour ou un tribunal, ou fasse l’objet d’un examen hors cour en tant que témoin lors d’une instance.*
Autodétermination – Principe déontologique qui reconnaît les droits et besoins des client(e)s de pouvoir faire leurs propres choix et de prendre leurs propres décisions. Il découle de ce principe que la personne inscrite doit aider le (la) client(e) à connaître les ressources et les choix dont il ou elle dispose et à voir quelles pourraient être les conséquences possibles de chacun de ses choix. **†
Avis officiel – Une déclaration écrite concernant un fait qui est communiqué à la personne concernée, mettant cette personne au courant du fait.*
Cesser d’exercer – Lorsque les personnes inscrites à l’Ordre se retirent de la profession et n’exercent plus le travail social ou les techniques de travail social. Selon les Normes d’exercice, les personnes inscrites à l’Ordre qui sont suspendues ne sont pas considérées comme ayant cessé d’exercer leur profession, même si elles ne sont pas autorisées à exercer des activités relevant du champ d’application de leur profession pendant la période de suspension.
Client(e) – Particulier, couple, famille, groupe, personne supervisée, étudiant(e), participant(e) à une étude de recherche, organisme ou communauté qui demande ou reçoit des services professionnels directs ou indirects, comme décrits dans les champs d’application correspondants. Lorsque la personne inscrite à l’Ordre est employée par un organisme, le (la) client(e) est considéré(e) comme à la fois un(e) client(e) de la personne inscrite à l’Ordre et de l’organisme. Bien que les personnes inscrites à l’Ordre aient des obligations envers leurs employeurs (y compris des obligations de confidentialité), l’employeur(euse) d’une personne inscrite à l’Ordre n’est pas considéré(e) comme un(e) client(e) au sens des présentes normes d’exercice, sauf lorsque la personne inscrite à l’Ordre a été embauchée pour fournir des services de consultation.
Comité d’aptitude professionnelle – Un comité statutaire de l’Ordre, qui a pour mandat de tenir des audiences généralement fermées au public et de statuer sur les allégations d’incapacité qui lui sont renvoyées par le comité des plaintes, le Bureau ou le Conseil, conformément à la loi, de tenir des audiences pour trancher les questions de demande de rétablissement ou pour changer les termes, conditions ou limites imposées à la suite d’une audience sur l’aptitude professionnelle.
Comité de discipline – Comité statutaire de l’Ordre, qui a pour mandat de tenir des audiences et de statuer sur les allégations de faute professionnelle ou d’incompétence concernant des personnes inscrites à l’Ordre, allégations qui lui sont renvoyées par le Comité des plaintes, le Conseil ou le Bureau.
Comité des plaintes – Un comité statutaire de l’Ordre, qui a pour mandat d’étudier les plaintes écrites se rapportant à la conduite et aux actes des personnes inscrites à l’Ordre, de faire enquête sur celles-ci et de déterminer les mesures appropriées à prendre en ce qui concerne ces plaintes, conformément à la Loi sur le travail social et les techniques de travail social, entre autres, en présentant un avertissement ou en renvoyant la question devant le comité de discipline ou le comité d’aptitude professionnelle.
Compétence – Pour les travailleurs sociaux et les travailleuses sociales ou les techniciens et techniciennes en travail social, cela signifie l’aptitude à s’acquitter des obligations de l’exercice de leur profession. Il s’agit notamment de posséder la scolarité et l’expérience pertinentes, en plus d’exercer ses fonctions professionnelles et d’atteindre ses objectifs tout en adhérant aux valeurs et aux codes de déontologie des professions. Pour les travailleurs sociaux et les travailleuses sociales ou les techniciens et techniciennes en travail social, la compétence consiste également, entre autres, à avoir la capacité de comprendre et d’agir de manière responsable. ** †
Confidentialité – Un principe de déontologie selon lequel la personne inscrite à l’Ordre ne peut divulguer des renseignements au sujet d’un(e) client(e) sans avoir le consentement de cette personne. Ces renseignements comprennent, entre autres, l’identité du (de la) client(e), le contenu de verbalisations explicites ou autres communications avec le (la) client(e), des opinions professionnelles sur le (la) client(e), le matériel de dossiers sur le (la) client(e) ou fournis par lui ou elle.**
Conflit d’intérêts – Une personne inscrite à l’Ordre est en « conflit d’intérêts » lorsqu’elle a une obligation ou un intérêt personnel, financier ou professionnel qui pourrait influencer la personne inscrite dans l’exercice de ses responsabilités professionnelles. Un conflit d’intérêts peut être réel ou perçu; dans ce dernier cas, une personne raisonnable et informée de toutes les circonstances aurait des doutes quant à la capacité de la personne inscrite à exercer ses responsabilités professionnelles, compte tenu de l’intérêt ou de l’obligation en question. Une simple possibilité ou une influence soupçonnée ne crée pas en soi un conflit d’intérêts.
Consultation – Relation interpersonnelle entre un particulier ou un organisme possédant une expertise particulière et une personne ayant besoin de cette expertise pour résoudre un problème précis. La consultation, dans le contexte de l’exercice du travail social ou des techniques de travail social, est un processus de résolution de problèmes dans lequel les conseils et autres activités d’aide du (de la) consultant(e) sont offerts à un particulier, un groupe, un organisme ou une communauté étant confronté à un problème lié au travail. Contrairement à la supervision, qui est de nature relativement continue et englobe de nombreux domaines de préoccupation, la consultation a lieu de manière plus ponctuelle ou temporaire et a un objectif et une orientation spécifiques. Contrairement au (à la) superviseur(euse), le (la) consultant(e) n’exerce aucune autorité administrative particulière sur ceux à qui il ou elle prodigue des conseils. **†
Débours – De l’argent versé par un(e) client(e) ou en son nom pour des frais ou dépenses (autres que les honoraires professionnels de la personne inscrite à l’Ordre) se rapportant à des services professionnels fournis par la personne inscrite au (à la) client(e). Les débours peuvent inclure, entre autres, les frais pour les services de messagerie, les photocopies, les appels téléphoniques interurbains, etc.*†
Défense de causes – 1. Acte consistant à représenter directement ou à défendre les autres. 2. Se faire le (la) porte-parole des droits des particuliers, des groupes ou des communautés par l’intervention directe ou la prise en charge de soi. Cela représente une obligation fondamentale des professions et des personnes inscrites.**†
Diagnostic de travail social – Un diagnostic de travail social, également connu sous le nom d’évaluation biopsychosociale, est une série de jugements fondés sur les connaissances et compétences en travail social qui tient compte des facteurs historiques et systémiques ayant un impact sur les client(e)s et les systèmes clients. Le diagnostic est mené en prenant en compte les traumatismes vécus, avec une approche anti-oppression éclairée du point de vue culturel. Ce processus :
a) détermine les causes sous-jacentes de la situation du (de la) client(e) et propose une évaluation et une analyse plus poussées;
b) soutient l’élaboration d’un plan de traitement ou d’intervention dont le (la) travailleur(euse) social(e) a assumé la responsabilité professionnelle; et
c) s’appuie sur le Code de déontologie et les Normes d’exercice.
Documentation par exception – Le fait d’enregistrer uniquement les comportements qui ne surviennent pas couramment. La personne inscrite à l’Ordre consigne des situations ou comportements qui ne correspondent pas au comportement ou aux circonstances ordinaires du (de la) client(e).****
Efficacité – La capacité d’aider le (la) client à atteindre, dans un délai raisonnable, les objectifs d’une intervention donnée.**†
Effort raisonnable – L’approche attendue d’une personne inscrite à l’Ordre dans les mêmes circonstances, exerçant conformément aux normes de la profession, afin de fournir des soins et des services opportuns, complets et respectueux.
Éléments de preuve – Se rapporte aux informations tendant à établir des faits. En ce qui concerne les personnes inscrites à l’Ordre, les éléments de preuve peuvent inclure, entre autres, l’observation directe, les informations recueillies lors de séances cliniques, la documentation auxiliaire, les informations tirées de documents et les informations recueillies grâce à des outils cliniques (p. ex., mesures d’évaluation diagnostique, échelles d’évaluation).
Ensemble de connaissances – Chacune des expressions « ensemble de connaissances professionnelles en travail social » et « ensemble de connaissances professionnelles en techniques de travail social » se rapporte à la fois à la compréhension théorique et pratique. On peut acquérir un ensemble de connaissances par l’éducation, l’expérience clinique, la consultation et la supervision, le perfectionnement professionnel, et une étude de la recherche et de la documentation pertinentes. Les connaissances professionnelles en travail social et les connaissances professionnelles en techniques de travail social font appel à la base de connaissances d’autres professions, y compris la sociologie, la psychologie, l’anthropologie, la médecine, le droit et l’économie ainsi qu’à leurs ensembles de connaissances respectifs distincts.
Génogramme – Schéma utilisé pour décrire les relations familiales sur trois générations. Traditionnellement, le schéma utilisait des cercles pour représenter les femmes, des carrés pour représenter les hommes, et des lignes horizontales pour indiquer les mariages; cependant, il existe de nombreuses variantes modernes. Des lignes verticales sont tracées entre les lignes de mariage et autres cercles et carrés pour représenter les enfants. Le schéma peut contenir d’autres symboles ou explications écrites pour indiquer des événements importants, comme un décès, un divorce ou un remariage et pour révéler des modes de comportement.**†
Honoraires excessifs – Montant d’honoraires qui dépasse ce qui est considéré comme habituel, raisonnable et traditionnel par rapport aux honoraires facturés par d’autres personnes inscrites pour des services semblables.
Humilité culturelle – Processus d’auto-réflexion pour comprendre des préjudices personnels ou systémiques et établir et maintenir des processus et relations fondés sur la confiance mutuelle. L’humilité culturelle signifie reconnaître humblement qu’on a encore beaucoup à apprendre pour comprendre l’expérience d’autrui. *******
Intérêt – Le résultat le plus avantageux pour un(e) client(e) à un moment précis. Les personnes inscrites à l’Ordre doivent être conscientes que les circonstances des client(e)s sont nuancées et peuvent changer rapidement et souvent, et qu’il n’est pas possible de prévoir entièrement tous les résultats d’une intervention donnée.
Intersectionnalité – La nature interconnectée des catégorisations sociales telles que la race, la classe et le sexe, dont on considère qu’elle crée des systèmes de discrimination ou de désavantage à la fois superposés et interdépendants; on entend par intersectionnalité l’approche théorique basée sur ce principe mise au point par Kimberlé Crenshaw, professeure à la UCLA School of Law et à la Columbia Law School. ******†
Intervention – 1. Interposition entre des groupes de personnes, événements, planification d’activités, ou aide avec les conflits internes d’un particulier. 2. Dans le travail social, le terme est analogue au terme de « traitement » pour un médecin. De nombreux travailleurs sociaux et travailleuses sociales préfèrent utiliser le terme « intervention » parce qu’il comprend le « traitement » mais aussi d’autres activités que les travailleurs sociaux utilisent pour résoudre ou prévenir les problèmes ou atteindre des objectifs d’amélioration sociale. L’intervention pourrait comprendre la psychothérapie (notamment des services de psychothérapie ou l’acte autorisé de psychothérapie), la défense de causes, la médiation, la planification sociale, l’organisation communautaire, la recherche et le développement de ressources.**†
Justice sociale – Situation idéale où tous les membres d’une société jouissent des mêmes droits fondamentaux, protections, débouchés, obligations et prestations sociales. Ce concept comprend implicitement la notion que des inégalités historiques devraient être reconnues et réparées par la prise de mesures précises. Valeur clé du travail social et des services sociaux, la justice sociale englobe la lutte contre la discrimination, l’oppression et les inégalités institutionnelles. **†
Membre – A la même signification que « personne inscrite ». Dans son site Web, sa documentation et ses normes d’exercice (et autres documents), l’Ordre utilise indifféremment les termes « membre » et « personne inscrite ».
Mesure – Processus, généralement à court terme, visant à déterminer la nature et la progression d’un problème présenté en repérant les forces et les capacités du système client et ce qui peut être modifié pour atténuer le problème ou le résoudre. Les informations recueillies lors du processus de mesure servent à définir des objectifs précis et des interventions appropriées; une nouvelle mesure doit être effectuée tout au long de la relation entre la personne inscrite à l’Ordre et le (la) client(e), dans le cadre du continuum de prestation de services.
Paraprofessionnel(le) – Une personne ayant des connaissances spécialisées et une formation technique qui travaille en étroite collaboration avec un(e) professionnel(le) et est supervisée par cette personne.** †
Personne inscrite – A la même signification que « membre ». Dans son site Web, sa documentation et ses normes d’exercice (et autres documents), l’Ordre utilise indifféremment les termes « membre » et « personne inscrite ». Le terme « personne inscrite » désigne toute personne visée par le terme « membre » tel qu’il est employé dans la Loi de 1998 sur le travail social et les techniques de travail social.
Psychosocial – Implique l’influence de facteurs sociaux ou de comportements interactifs humains, et reconnaît l’interdépendance complexe de la psychologie individuelle et du contexte culturel et social/interpersonnel.
Relation duelle – Par relations duelles, on entend une situation où une personne inscrite à l’Ordre, en plus de la relation professionnelle, a une relation passée, présente ou future de nature familiale, sociale, financière, de supervision ou autre avec le (la) client(e). Une relation duelle ne constitue pas nécessairement un conflit d’intérêts, mais lorsqu’elle existe, elle crée une forte possibilité qu’un conflit d’intérêts réel ou perçu survienne.
Renseignements identificatoires – Renseignements qui permettent d’identifier un particulier ou à l’égard desquels il est raisonnable de prévoir, dans les circonstances, qu’ils pourraient servir, seuls ou avec d’autres renseignements, à identifier un particulier.
Renseignements sur les client(e)s – Renseignements fournis par un(e) client(e) qui se rapportent à d’autres personnes ou au (à la) client(e) lui-même (elle-même), ainsi que les renseignements sur le (la) client(e) fournis par d’autres personnes (par exemple, informations concernant la santé mentale ou affective du (de la) client(e) fournies par d’autres professionnel(le)s de la santé ou contenues dans des dossiers provenant d’autres sources).
Services de counseling – Par services de counseling, on entend des services fournis dans le contexte d’une relation professionnelle dans le but d’aider les client(e)s à faire face à des problèmes dans leur vie, en entreprenant des activités pouvant consister à aider les client(e)s à trouver des solutions et à faire des choix en étudiant les options, en identifiant leurs points forts et leurs besoins, en localisant des informations et des ressources, et en encourageant une variété de stratégies d’adaptation. Les services de counseling ne comprennent cependant pas les services de psychothérapie ou l’acte autorisé de psychothérapie.
Services de psychothérapie – Toute forme de traitement en raison de difficultés affectives ou psychosociales, d’inadaptations comportementales ou de tout autre problème que l’on présume être de nature affective, traitement au cours duquel une personne inscrite à l’Ordre établit une relation professionnelle avec un(e) client(e) dans le but de promouvoir la croissance et le développement personnels positifs du (de la) client(e).
La Loi de 1991 sur les professions de la santé réglementées (la « LPSR ») définit l’acte autorisé de psychothérapie comme le fait de « traiter, au moyen d’une technique de psychothérapie appliquée dans le cadre d’une relation thérapeutique, un désordre grave dont souffre un particulier sur les plans de la pensée, de la cognition, de l’humeur, de la régulation affective, de la perception ou de la mémoire et qui est susceptible de porter gravement atteinte à son jugement, à son intuition, à son comportement, à sa capacité de communiquer ou à son fonctionnement social ». Il importe de souligner que la définition de l’acte autorisé de psychothérapie est différente de celle des services de psychothérapie. Bien qu’il puisse arriver que la psychothérapie ne soit pas toute comprise dans la définition de l’acte autorisé, il est impossible de déterminer cet état de fait avec certitude pour le moment étant donné qu’il n’existe aucune directive à ce sujet de la part des tribunaux ou des comités de discipline de l’Ordre.
Société professionnelle – En ce qui concerne l’exercice du travail social ou des techniques de travail social par une ou plusieurs personnes inscrites à l’Ordre, par « société professionnelle » on entend une personne morale avec un capital-actions constituée ou maintenue sous le régime de la Loi sur les sociétés par actions, L.R.O. 1990, chap. B.16 aux fins de l’exercice du travail social ou des techniques de travail social, qui détient un certificat d’autorisation valide délivré en vertu de la Loi sur le travail social et les techniques de travail social, L.O. 1998, chap. 31.
Supervision – Un processus administratif et éducatif par lequel les personnes supervisées développent et affinent leurs connaissances et compétences en travail social ou en techniques de travail social, s’engagent dans une autoréflexion critique, améliorent leur résilience et s’assurent d’être en mesure de fournir des soins et des services de qualité à leurs client(e)s. Les superviseurs ou superviseuses peuvent attribuer des cas, discuter des plans d’évaluation et d’intervention, et examiner les contacts continus avec les client(e)s. La supervision peut également aider la personne supervisée à mieux comprendre les philosophies du travail social et/ou des techniques de travail social, les politiques des organismes et les ressources communautaires. Les personnes inscrites à l’Ordre moins expérimentées ont généralement besoin d’une supervision plus fréquente et plus formelle, tandis que celles qui sont plus expérimentées peuvent demander une supervision moins fréquente, avec à la place des consultations portant sur des cas particuliers, des interactions avec des groupes de pairs ou d’autres approches de perfectionnement professionnel. La supervision éducative concerne les préoccupations professionnelles et les cas spécifiques, tandis que la supervision administrative se concentre sur les politiques particulières des organismes et la responsabilité publique. Les personnes inscrites à l’Ordre peuvent être supervisées par des Aînés autochtones ou des professionnel(le)s agréé(e)s extérieur(e)s à la profession. Les superviseurs ou les superviseuses fournissent des services directs de travail social ou de techniques de travail social et le fait de ne pas fournir une supervision adéquate constitue une faute professionnelle. **†
Système client – Personnes dans l’environnement du (de la) client(e) qui peuvent influencer les résultats du (de la) client(e).
TSI – Travailleur(euse) social(e) inscrit(e). Une personne inscrite à l’Ordre qui détient un certificat d’inscription en travail social.
TTSI – Technicien(ne) en travail social inscrit(e). Une personne inscrite à l’Ordre qui détient un certificat d’inscription en techniques de travail social.
*Black’s Law Dictionary, cinquième édition, Henry Campbell Black et al, 1979
** The Social Work Dictionary, 6e édition, Robert L. Barker, 2014
*** Client Rights in Psychotherapy and Counselling, A Handbook of Client Rights and Therapist Responsibility, Susan Beamish, Michelle Melanson et Marilyn Oladimeji, 1998
**** Association des travailleuses et travailleurs sociaux de l’Ontario, Lignes directrices pour la tenue de dossiers de travail social, 1999
***** The Strengths Perspective in Social Work, Dennis Saleebey, 1992
****** Oxford English Dictionary, décembre 2022
******* Régie de la santé des Premières Nations, 2023
† La définition a été adaptée à partir de la source originale.